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Corporate: Société Générale SGSS

  • alexswop
  • 2 mars 2015
  • 2 min de lecture

Et voilà! Deux semaines de tournage rock n' roll avec une équipe d'enfer! Entre Paris, Londres, Francfort et Dublin, on a vécu une aventure humaine et professionnelle comme rarement j'en ai eu. Au-delà de l'esprit d'équipe qui nous réunissait nous 4, nous avons eu affaire à plusieurs challenges techniques.

Pour ce film, nous travaillions avec deux GH4 et un enregistreur Shogun. Ce dernier nous a planté dès le premier jour en nous flashant notre disque de rushs (pas encore sauvegardé puisque nous n'en étions qu'à la première scène). Quand vous êtes devant le fameux hôtel Renaissance dans la gare de Londres, là où ont été tourné les "Harry Potter", le stress est encore un peu plus fort...

Au final aucun retard à compter, mais tout de même pour une première utilisation du Shogun c'est décevant. En tous cas pour la partie recorder, car la partie retour vidéo a très bien marché: la qualité de la résolution est appréciable et en plus il y a plusieurs outils intégrés (luminance, niveaux...).

L'autre atout de cette confirguration choisie par Matt La Prod, c'était le DJI Ronin. Impressionnant tout ce que l'on peut combiner comme mouvements avec un appareil aussi bon marché et relativement peu encombrant. Bon, il reste quand même assez lourd..! Il existe les modèles Movi M5 et M10 qui sont aussi réputés mais que je ne connais pas encore.

Comparé au steaycam, le stabilisateur 3 axes a de sérieux avantages dans la gamme de mouvements réalisables, mais il n'offre pas exactement la même chose non plus. De toutes façons, dans une config' lourde (RED + Mattebox + optiques ciné + FF par exemple) il devient difficile de tout porter à bout de bras très longtemps en restant stable.

Le résultat a été au-dessus des espérances du réalisateur Matthieu Lemaire, les collaborateurs SGSS (Société Générale Security Services) ont été ravis et ont trouvé le film très proche de leur réalité du terrain, et ce alors qu'il y avait des plans rugby dans la narration... Oui, le film jouait sur des images vibratoires, comme des fantômes furtivement aperçus, pour représenter la connivence de la société avec le rugby, sport dont elle est partenaire depuis de nombreuses années. Bref, un succès, à tel point que le film a fait parler de lui au-delà de SGSS.

Quant à nous, nous en gardons des souvenirs forts, pas que de travail d'ailleurs! En voici quelques images...

Un salut spécial à Alison, Bruno, Fabrice et Lucas pour les photos!

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